Aller, je ne résiste pas à vous la raconter !
Le premier jour où nous sommes arrivés à Bangalore avec mes chefs français, nous sommes descendus dans un très bel hôtel (équivalent à **** en France).
Imaginez dès votre sortie de voiture, des porteurs de bagages, un grand costaud en tenue et portant une moustache énorme et faisant office de portier, un grand hall au fond duquel se devine un bar très cosy. Dans ce vaste hall, au milieu de l'entrée, un bureau avec 2 employés modèles, costards gris classe. Passons sur le reste du personnel (moult!). Le tableau est placé. C'est le lendemain matin que la situation devient cocasse.
En partant, je demande à changer des euros et à la fois ma note. C'est là où j'ai un peu regretté de ne pas m'être levé 1/4 plus tôt ! Tout s'est déroulé dans un grand cérémonial, tout document remis est glissé dans une belle enveloppe et tout. Souvent, les notes sont déjà préparées le matin avant le départ. Pas ici. 10 minutes. J'hésite à partir. Je paye. Reste le change.
Le change, le gus prend mes 4 billets et commence à recopier les numéros (mais non, je ne les ai pas voler !)- c'est long recopier des billet sur un ordinateur avec un seul doigt ! son collègue de droite semble toujours aussi affairé à traiter méticuleusement une note d'un client qui s'est volatisé. Bref, un fois la tache terminée, mon guss me fait un grand sourire, et là, dans un souci de professionnalisme évident, décide d'agrafer les documents.... Paf ! pas de chance, plus d'agrafes ! Avec une zen attitude très indienne, le gus ne se laisse pas impressionner par l'adversité du sort : il interpelle par un simple geste un autre gus du fond de l'entrée pour l'approvisionner en matériel. Et Là, surprise ! Le petit nouveau ouvre le tiroir du premier guss, en sort LA boite à agrafe, remplit celle-ci et tend la chère agrafeuse à son utilisateur de droit ! Trop fort ! C'est pas du travail d'équipe ça !
Je n'imagine même pas cela en France ! C'est un coup à se la prendre sur le front, l'agrafeuse !
Le premier jour où nous sommes arrivés à Bangalore avec mes chefs français, nous sommes descendus dans un très bel hôtel (équivalent à **** en France).
Imaginez dès votre sortie de voiture, des porteurs de bagages, un grand costaud en tenue et portant une moustache énorme et faisant office de portier, un grand hall au fond duquel se devine un bar très cosy. Dans ce vaste hall, au milieu de l'entrée, un bureau avec 2 employés modèles, costards gris classe. Passons sur le reste du personnel (moult!). Le tableau est placé. C'est le lendemain matin que la situation devient cocasse.
En partant, je demande à changer des euros et à la fois ma note. C'est là où j'ai un peu regretté de ne pas m'être levé 1/4 plus tôt ! Tout s'est déroulé dans un grand cérémonial, tout document remis est glissé dans une belle enveloppe et tout. Souvent, les notes sont déjà préparées le matin avant le départ. Pas ici. 10 minutes. J'hésite à partir. Je paye. Reste le change.
Le change, le gus prend mes 4 billets et commence à recopier les numéros (mais non, je ne les ai pas voler !)- c'est long recopier des billet sur un ordinateur avec un seul doigt ! son collègue de droite semble toujours aussi affairé à traiter méticuleusement une note d'un client qui s'est volatisé. Bref, un fois la tache terminée, mon guss me fait un grand sourire, et là, dans un souci de professionnalisme évident, décide d'agrafer les documents.... Paf ! pas de chance, plus d'agrafes ! Avec une zen attitude très indienne, le gus ne se laisse pas impressionner par l'adversité du sort : il interpelle par un simple geste un autre gus du fond de l'entrée pour l'approvisionner en matériel. Et Là, surprise ! Le petit nouveau ouvre le tiroir du premier guss, en sort LA boite à agrafe, remplit celle-ci et tend la chère agrafeuse à son utilisateur de droit ! Trop fort ! C'est pas du travail d'équipe ça !
Je n'imagine même pas cela en France ! C'est un coup à se la prendre sur le front, l'agrafeuse !
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