Ce petit aller retour de 3 jours m'a également permis :
- Manger une cote de bœuf et steak tartare,
- Boire un Don Pérignon (merci Brice)
- Mettre à jour mes maigres connaissances cinématographiques (3 ou 4 films par vol AS),
- Savoir comment on loupait un avion (à CDG),
- Comment laisser une belle bouteille de Whisky au service de sécurité de l'aéroport de Paris (achetée au Duty à Bangalore)
- Me refaire une santé mentale
- Mais surtout, découvrir le nouvel aéroport de Bangalore.
Je tiens à dire que les mauvaises langues qui m'avaient prédit un aéroport tout juste terminé mais sans route d'accès, sont de mauvaise foi (et je m'y connais dans ce domaine ; je ne sais d'ailleurs pas si ne n'ai pas relayé moi même cette information).
Non seulement la route existe, mais elle est longue (1 heure sans circulation) et ressemble à une autoroute éclairée.
L'aéroport est beau mais c'est vrai, des détails agacent ; les cartes bleues ne fonctionnent pas (pratique dans un aéroport international), nécessité de faire la queue pour payer des taxes "spécial nouvel aéroport" (!!!), agent de change à 2 de tension, et encore, j'ai failli lui prendre le poul (passage obligé car les CB...).
Si l'architecture du lieu fait oublier l'Inde, le nombre de petit personnel associé au temps d'attente laisse toujours pantois. L'inde est le pays de la sur démultiplication humaine. Personne ne force, mais comme on est nombreux, cela va se passer, mais tranquillement.
Le pauvre indien assit à coté de moi dans l'avion de retour, quoi qu'ayant une tête sympathique, a fait les frais de mon humeur souriante liée à mon retour sur Bangalore.
Disons que j'ai un peu coupé court à toutes ses gentilles intentions de communiquer...
Après avoir répondu à la question "Est ce que Bangalore, ma ville natale, vous plaît", une réponse acerbe et sans équivoque du style "Ville sans intérêt dont on fait le tour en 1 WE", toute velléité de conversation entre gens civilisés a finalement été anéantie.
C'est méchant. Je sais. Mais j'ai pu replonger dans mes films et bouquins en ayant l'impression de faire perdurer ce lien suspendu qu'Air France maintenait avec mon sol natal.
Non seulement la route existe, mais elle est longue (1 heure sans circulation) et ressemble à une autoroute éclairée.
L'aéroport est beau mais c'est vrai, des détails agacent ; les cartes bleues ne fonctionnent pas (pratique dans un aéroport international), nécessité de faire la queue pour payer des taxes "spécial nouvel aéroport" (!!!), agent de change à 2 de tension, et encore, j'ai failli lui prendre le poul (passage obligé car les CB...).
Si l'architecture du lieu fait oublier l'Inde, le nombre de petit personnel associé au temps d'attente laisse toujours pantois. L'inde est le pays de la sur démultiplication humaine. Personne ne force, mais comme on est nombreux, cela va se passer, mais tranquillement.
Le pauvre indien assit à coté de moi dans l'avion de retour, quoi qu'ayant une tête sympathique, a fait les frais de mon humeur souriante liée à mon retour sur Bangalore.
Disons que j'ai un peu coupé court à toutes ses gentilles intentions de communiquer...
Après avoir répondu à la question "Est ce que Bangalore, ma ville natale, vous plaît", une réponse acerbe et sans équivoque du style "Ville sans intérêt dont on fait le tour en 1 WE", toute velléité de conversation entre gens civilisés a finalement été anéantie.
C'est méchant. Je sais. Mais j'ai pu replonger dans mes films et bouquins en ayant l'impression de faire perdurer ce lien suspendu qu'Air France maintenait avec mon sol natal.
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