Le petit village décrit hier se trouve être au bord de l'océan Indien (le hasard..) et je me devais d'en profiter. J'avais donc réservé un bel hôtel sur la plage, piscine, hamac suspendu à des palmiers, etc.. trop dur. Et puis, cette étape pourrait être qualifiée de nécessaire à ma bonne santé : j'ai enfin bien mangé. Le français qui sommeille en moi s'en est donc réjoui. Poissons grillés, langoustes (ou gambasse ?), tout simple, sans épices... le plaisir sans trop transpirer.
Le retour failli être pénible : mes collègues m'avaient réservé un avion pour le dimanche 6h. J'arrive tout content, décontracté, en short et le sourire aux lèvres. Fier de mes 2 heures d'avance , je tend mon billet à la police qui filtre l'entrée dans l'aéroport. Ces messieurs le regardent avec attention, se concertent et finissent par me le rendre en me disant qu'il n'est plus valide... que je n'ai que 16 heures de retard et que j'ai loupé l'avion.... La réservation était pour le dimanche matin 6h00 (non, mais quel con, ce collègue !). L'informatique de la compagnie étant en panne (non, mais quels cons ces informaticiens !), je ne pouvais pas changer ou prendre un autre billet... Je commençais à devenir livide m'imaginant dormir par terre dans l'aéroport (synonyme de mort rapide pour un européen habitué à un minimum d'hygiène). Pour ceux qui s'inquiètent, j'ai tout de même trouvé un billet sur une autre compagnie et j'ai ainsi pu dormir tranquillement dans mon lit... Super WE !
Le retour failli être pénible : mes collègues m'avaient réservé un avion pour le dimanche 6h. J'arrive tout content, décontracté, en short et le sourire aux lèvres. Fier de mes 2 heures d'avance , je tend mon billet à la police qui filtre l'entrée dans l'aéroport. Ces messieurs le regardent avec attention, se concertent et finissent par me le rendre en me disant qu'il n'est plus valide... que je n'ai que 16 heures de retard et que j'ai loupé l'avion.... La réservation était pour le dimanche matin 6h00 (non, mais quel con, ce collègue !). L'informatique de la compagnie étant en panne (non, mais quels cons ces informaticiens !), je ne pouvais pas changer ou prendre un autre billet... Je commençais à devenir livide m'imaginant dormir par terre dans l'aéroport (synonyme de mort rapide pour un européen habitué à un minimum d'hygiène). Pour ceux qui s'inquiètent, j'ai tout de même trouvé un billet sur une autre compagnie et j'ai ainsi pu dormir tranquillement dans mon lit... Super WE !
2 commentaires:
eh ben! si jamais un jour tu te plains de ton séjour. je te rappelerai ce post ...
bises
un nouveau moyen de transport ecolo à exporter en Inde , il faut juste trouver le carburant.
http://picasaweb.google.fr/jeff.du.17/Blaye2008?authkey=A-3Mdh9lZUY
manu
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